Dévoilement à Paris d’un monument en hommage aux goumiers marocains morts pour la France
Un monument en hommage aux goumiers
marocains morts pour la France a été dévoilé, lors d’une cérémonie
organisée mardi à Paris, en présence de plusieurs personnalités
marocaines et françaises civiles et militaires.
Erigé sur la place Denys Cochin au 7ème Arrondissement de la capitale française, ce monument honore les goumiers, maounines, moqqadmines et leurs chefs tombés au champ d’honneur.
Cette stèle, qui met en avant la devise des goumiers marocains : « Zidou l’gouddam » (« en avant! »), rend hommage à la mémoire de ces combattants marocains qui se sont illustrés par leur courage, dévouement et sacrifice notamment lors de la libération de la France du joug du nazisme.
Dans une allocution de circonstance, le Secrétaire d’Etat français chargé des anciens Combattants et de la Mémoire, M. Jean-Marc Todeschini a indiqué que les goumiers marocains ont puisé dans la fidélité de leur pays à la France et la volonté d’élever la liberté au-dessus de la barbarie, ajoutant que leur engagement dans les combats de libération est le signe d’un dévouement et d’une loyauté, fidèles en cela à l’appel lancé par feu SM Mohammed V en 1939.
La France accueille ses combattants dans sa mémoire nationale, a-t-il soutenu, rappelant que le Maroc et la France se sont rassemblés il y a 70 ans autour de l’idéal commun de la liberté qui a fondé leur mémoire partagée.
Cette stèle est une nouvelle pierre à l’édifice que constitue la reconnaissance de la France à l’égard des goumiers marocains, a relevé le responsable français, notant qu’il s’agit d’une reconnaissance à ces combattants pour avoir défendu les valeurs qui sont celles de la France.
Pour sa part, la Maire du 7ème Arrondissement de Paris, Mme Rachida Dati a souligné que la France n’oubliera jamais ceux qui ont sacrifié leur vie pour sa liberté et qui ont marqué les mémoires des Français.
Ces goumiers, qui se sont notamment illustrés lors de la libération du premier territoire français, la Corse, appartiennent à l’Histoire et aux valeurs de la France, a-t-elle poursuivi, ajoutant que l’inauguration de cette stèle est une occasion de célébrer l’amitié séculaire franco-marocaine.
Mme Dati a, par ailleurs, indiqué que le Maroc est aujourd’hui aux côtés de la France dans son combat contre la barbarie.
Le contrôleur général des Armées et président de l’association « La Koumia », M. Claude Sornat a, quant à lui, rappelé que l’épopée des goumiers a commencé en 1942 au moment où la France a repris les armes, faisant remarquer qu’ils ont suscité la curiosité de leurs camarades de combat français et anglo-saxons.
Il a aussi mis l’accent sur les victoires de ces goumiers lors des différentes batailles qu’ils ont livrées, grâce à leur réputation et à leur attachement à leur devise : « Zidou l’gouddam ».
Pour Mme Catherine Vieu-Charier, adjointe à la Maire de Paris, ce monument permet de faire partager aux Parisiens l’histoire méconnue des artisans de la victoire contre les Nazis.
« La France a une dette envers ces goumiers dont il ne faut jamais oublier les sacrifices et le dévouement », a-t-elle dit, précisant que c’est un immense honneur pour Paris de transmettre et faire partager cette histoire. Elle a aussi appelé à accorder à ces goumiers la reconnaissance qu’ils méritent.
De son côté, l’ambassadeur du Maroc à Paris, M. Chakib Benmousssa a affirmé que ce monument, qui rappelle l’engagement des goumiers morts pour la France, est le symbole des liens profonds qui unissent les deux pays.
La relation franco-marocaine puise sa force dans l’histoire partagée et les défis communs du 21-ème siècle, a noté le diplomate marocain, rappelant la visite effectuée récemment par le Président français, M. François Hollande au Maroc et qui a permis de promouvoir davantage ces liens bilatéraux.
Cette cérémonie s’est déroulée en présence notamment du Haut commissaire aux anciens combattants et anciens membres de l’armée de libération, M. Mustapha El Ktiri, de la Directrice des Archives Royales, Mme Bahija Simou, d’élus et parlementaires français, de plusieurs combattants, ainsi que d’autres personnalités.
Erigé sur la place Denys Cochin au 7ème Arrondissement de la capitale française, ce monument honore les goumiers, maounines, moqqadmines et leurs chefs tombés au champ d’honneur.
Cette stèle, qui met en avant la devise des goumiers marocains : « Zidou l’gouddam » (« en avant! »), rend hommage à la mémoire de ces combattants marocains qui se sont illustrés par leur courage, dévouement et sacrifice notamment lors de la libération de la France du joug du nazisme.
Dans une allocution de circonstance, le Secrétaire d’Etat français chargé des anciens Combattants et de la Mémoire, M. Jean-Marc Todeschini a indiqué que les goumiers marocains ont puisé dans la fidélité de leur pays à la France et la volonté d’élever la liberté au-dessus de la barbarie, ajoutant que leur engagement dans les combats de libération est le signe d’un dévouement et d’une loyauté, fidèles en cela à l’appel lancé par feu SM Mohammed V en 1939.
La France accueille ses combattants dans sa mémoire nationale, a-t-il soutenu, rappelant que le Maroc et la France se sont rassemblés il y a 70 ans autour de l’idéal commun de la liberté qui a fondé leur mémoire partagée.
Cette stèle est une nouvelle pierre à l’édifice que constitue la reconnaissance de la France à l’égard des goumiers marocains, a relevé le responsable français, notant qu’il s’agit d’une reconnaissance à ces combattants pour avoir défendu les valeurs qui sont celles de la France.
Pour sa part, la Maire du 7ème Arrondissement de Paris, Mme Rachida Dati a souligné que la France n’oubliera jamais ceux qui ont sacrifié leur vie pour sa liberté et qui ont marqué les mémoires des Français.
Ces goumiers, qui se sont notamment illustrés lors de la libération du premier territoire français, la Corse, appartiennent à l’Histoire et aux valeurs de la France, a-t-elle poursuivi, ajoutant que l’inauguration de cette stèle est une occasion de célébrer l’amitié séculaire franco-marocaine.
Mme Dati a, par ailleurs, indiqué que le Maroc est aujourd’hui aux côtés de la France dans son combat contre la barbarie.
Le contrôleur général des Armées et président de l’association « La Koumia », M. Claude Sornat a, quant à lui, rappelé que l’épopée des goumiers a commencé en 1942 au moment où la France a repris les armes, faisant remarquer qu’ils ont suscité la curiosité de leurs camarades de combat français et anglo-saxons.
Il a aussi mis l’accent sur les victoires de ces goumiers lors des différentes batailles qu’ils ont livrées, grâce à leur réputation et à leur attachement à leur devise : « Zidou l’gouddam ».
Pour Mme Catherine Vieu-Charier, adjointe à la Maire de Paris, ce monument permet de faire partager aux Parisiens l’histoire méconnue des artisans de la victoire contre les Nazis.
« La France a une dette envers ces goumiers dont il ne faut jamais oublier les sacrifices et le dévouement », a-t-elle dit, précisant que c’est un immense honneur pour Paris de transmettre et faire partager cette histoire. Elle a aussi appelé à accorder à ces goumiers la reconnaissance qu’ils méritent.
De son côté, l’ambassadeur du Maroc à Paris, M. Chakib Benmousssa a affirmé que ce monument, qui rappelle l’engagement des goumiers morts pour la France, est le symbole des liens profonds qui unissent les deux pays.
La relation franco-marocaine puise sa force dans l’histoire partagée et les défis communs du 21-ème siècle, a noté le diplomate marocain, rappelant la visite effectuée récemment par le Président français, M. François Hollande au Maroc et qui a permis de promouvoir davantage ces liens bilatéraux.
Cette cérémonie s’est déroulée en présence notamment du Haut commissaire aux anciens combattants et anciens membres de l’armée de libération, M. Mustapha El Ktiri, de la Directrice des Archives Royales, Mme Bahija Simou, d’élus et parlementaires français, de plusieurs combattants, ainsi que d’autres personnalités.
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